Manuelle Borgel

Danseuse-chorégraphe, elle « joue » le corps comme pinceau et peinture d’un tableau, comme crayon et page d’un écrit, comme outils et matériaux d’une sculpture ; le corps comme moyen d’expression intrinsèque du soi, le corps comme outil créatif au quotidien. Aujourd’hui, elle développe une danse qui soigne.

Elle enseigne la Technique Alexander et les somatiques. Elle développe, par ailleurs, son approche en Intelligence Collective, en coopération, en gestion des conflits et des états de stress.
Elle propose une approche de la Consensance Systémique pour permettre aux groupes de prendre des décisions viables et sans frustration.

Elle est active au sein des associations ATI et ATI France ainsi que dans des groupes qui travaillent sur les questions de racisme, d’équité et d’inclusion au sein du monde Alexander.

Elle est aussi investie dans un groupe d’artistes qui questionnent le rituels, le soin et la créativité. Groupe née suite à 10 années de laboratoire au Jardin d’Alice (Nérigean) « Danse comme rituel, danse comme performance »

2021-2022 : Formation avec Betsy Polatin : Humanual

2021-2022 : formation avec Tommy Thompson : The Gift of Our Understanding

2021 : Retreat avec Gabor Mate et Betsy Polatin : Compassion Inquiry (autour des traumas et des addictions)

2021 : formation avec Mira Avadon et Erik Bendix : Resilienth Health

2021 : formation avec Bruce Fertman : Grace of Sense

2020 : formation avec Mio Morales : Primal Alexander

2018 : Stage avec Erik Bendix : TA et BMC (Body Mind Centuring)

2017 : stage de Robyn Avalon : TA et sexualité féminine

2016 : formation post certification avec Tommy Thompson

2015-2016 : : formation en « Somatics, Performance and Creativ Process ». Formation proposée par Gary Soto Hoffman, chorégraphe. Certifiée en septembre 2016

2014-2015 : différents stages en CNV (Communication NonViolente)

2012-2014 : formation en technique Alexander, certifiée par ATI (Alexander Technique International) en octobre 2014.

2012-2019 : Elle collabore au travail de l’association Lapac (la parole est à l’accusé) dont l’objet est de coopérer à réhabiliter le rôle inclusif de la parole lors du processus pénale.

1995 : Poursuivant son travail de recherche du sens de l’acte créatif au quotidien, elle suit un D.E.S.S. en ethnométhodologie : science humaine prenant en compte la subjectivité du contexte se situant aux frontières de la phénoménologie, de la philosophie et de l’ethnologie.
Elle se forme à la réalisation de documentaires et au montage pour poursuivre son questionnement autour du cadre choisit.

Formation initiale en danse classique puis en jazz